Cunnilingus et sodomie en passant par un orgasme.

Mon chéri m'a mise en position : comprenez tête-bêche : c'est comme ça, avec ce point de vue qui permet à chacun de nous de donner et recevoir du plaisir, qu'il peut lécher ma chatte et moi son anus et son objet viril. Et ainsi peut-il coincez mes jambes et m'empêcher de " fuir ". Je m'exécute bien entendu. Qu'est-ce que je ne ferais pas pour lui pour avoir mon cunnilingus qui me rend dingue, me jette dans un étourdissement intense, dans une petite mort, comme on dit? Il me lèche donc comme il sait le faire avec doigté et une certaine technique propre à lui. Il caresse mes petites lèvres, aspire mon gros clitoris gonflé de désir, effleure mon anus, triture les grosses lèvres, tout ça dans un mouvement qui me secoue les entrailles et me procure du désir, de l'envie de me faire prendre, du plaisir, des prédispositions à ma syncope finale. Une fois mon plaisir atteint, encore presque évanouie, il s'occupe de moi, ou plutôt de mes trous: il les baise de façon telle que je sens sa bite comme dans mon ventre. Au top de l'excitation, la bite tendue, il me force le petit trou et crache dedans. ( vous allez voir du sperme couler de mon cul). Malgré l'habitude que j'ai d'encaisser sa grosse bite, son gland, proéminent, me fait mal à chaque fois. Il fallait avoir du courage et être solide pour ne pas tomber dans les pommes . Je résiste à ses attaques donc je suis. Comme vous le voyez, pour moi du sexe sans une certaine brutalité, ça manquerait de piment. Je trouve de la volupté dans mon mal. C'est ainsi. Je suis une lubrique avide de masochisme. Ce n'est point une posture, c'est ma nature. Ça me convient et Monsieur trouve son compte. Tant mieux.